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Citation

Pincheon BS. Afr. Stud. Rev. 2000; 43(3): 39-58.

Copyright

(Copyright © 2000, African Studies Association)

DOI

10.2307/525068

PMID

unavailable

Abstract

Dans l'étude de la sexualité africaine, les études culturelles et les théories abondent d'exemples d'approches limitées et unilinéaires tendant à la fois à renforcer les hypothèses de base sur la nature des catégories sociales, souvent dans une dynamique se perpétuant à l'infini et qui sous-tend les bases sociales et matérielles de leur construction, et ainsi à solidifier leur altérité. Même les chercheurs les mieux intentionnés effectuant des analyses historiques sur les africains et l'homosexualité (ou sur les noirs et l'homosexualité) ont tendance à commettre de telles erreurs de logique, le plus souvent en recourant à une série d'arguments circulaires destinés à réfuter la théorie a-historiciste sans remettre en question ni la manière dont sont invoqués et utilisés de tels arguments, ni les a-historicismes inhérents qui les surdéterminent. Cet article essaie d'établir une certaine réévaluation des arguments passés sur la sexualité africaine. Les chercheurs et personnes d'origine africaine se sont beaucoup penchés à la fois sur les actions affirmatives de reconquête et de fabrication de l'histoire, mais ces dernières ne pourront jamais être menées à bien si elles se basent sur des idées a-historicistes fausses et non discutées. En utilisant une critique postcolonialiste des écrits sur l'Afrique et l'homosexualité, j'utilise les concepts de contradiction, de négation et de renversement comme outils de recherche afin d'examiner les tropes bien souvent déployées dans les discours sur la race, l'Afrique et le sexuel dans l'écriture de la culture. In the study of African sexuality, cultural studies and theories abound with examples of limited, unilinear approaches which tend to reinforce basic assumptions about the nature of social categories, often in a self-perpetuating dynamic that undergirds the social and material bases of their construction and hence solidifies their alterity. Even the most well-intentioned scholars writing historically on Africans and homosexuality (or blacks and homosexuality) tend to commit such acts of logical fallacy, most often by resorting to a circular cluster of arguments to refute the ahistorical without questioning either the manner in which such arguments are invoked and used, or the inherent ahistoricisms that determine them. This paper will attempt a reassessment of past arguments about African sexuality. Scholars and persons of African descent have a good deal invested in the affirmative acts both of reclaiming and of making history; however, these can never be achieved on the terms of unquestioned, false ideas of the ahistorical. Using a postcolonialist critique of writings on Africa and homosexuality, I use the excavatory tools of contradiction, denial, and reversal to examine the tropes that most often have been deployed in discourses on race, Africa, and the sexual in the writing of culture.

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