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Journal Article

Citation

Sinyor M, Schaffer A, Streiner DL. Can. J. Psychiatry 2014; 59(1): 26-33.

Affiliation

Professor, Department of Psychiatry, University of Toronto, Toronto, Ontario; Professor, Department of Psychiatry and Behavioural Neurosciences, McMaster University, Hamilton, Ontario.

Copyright

(Copyright © 2014, Canadian Psychiatric Association, Publisher SAGE Publications)

DOI

unavailable

PMID

24444321

Abstract

Objective: To determine whether people who have died from suicide in a large epidemiologic sample form clusters based on demographic, clinical, and psychosocial factors. Method: We conducted a coroner's chart review for 2886 people who died in Toronto, Ontario, from 1998 to 2010, and whose death was ruled as suicide by the Office of the Chief Coroner of Ontario. A cluster analysis using known suicide risk factors was performed to determine whether suicide deaths separate into distinct groups. Clusters were compared according to person- and suicide-specific factors. Results: Five clusters emerged. Cluster 1 had the highest proportion of females and nonviolent methods, and all had depression and a past suicide attempt. Cluster 2 had the highest proportion of people with a recent stressor and violent suicide methods, and all were married. Cluster 3 had mostly males between the ages of 20 and 64, and all had either experienced recent stressors, suffered from mental illness, or had a history of substance abuse. Cluster 4 had the youngest people and the highest proportion of deaths by jumping from height, few were married, and nearly one-half had bipolar disorder or schizophrenia. Cluster 5 had all unmarried people with no prior suicide attempts, and were the least likely to have an identified mental illness and most likely to leave a suicide note. Conclusions: People who die from suicide assort into different patterns of demographic, clinical, and death-specific characteristics. Identifying and studying subgroups of suicides may advance our understanding of the heterogeneous nature of suicide and help to inform development of more targeted suicide prevention strategies.
KEYWORDS:
Toronto, cluster analysis, coroner records, suicide


Language: en

Vernacular Abstract

Objectif : Déterminer si les personnes qui sont mortes par suicide dans un vaste échantillon épidémiologique forment des groupes selon des facteurs démographiques, cliniques et psychosociaux. Méthode : Nous avons mené une revue des dossiers du coroner des 2886 personnes qui sont décédées à Toronto, Ontario, de 1998 à 2010, et dont le décès a été classé comme un suicide par le Bureau du coroner en chef de l’Ontario. Une analyse en grappe a été menée à l’aide des facteurs connus du risque de suicide, afin de déterminer si les décès par suicide se divisaient en groupes distincts. Les grappes ont été comparées en vertu des facteurs propres à la personne et au suicide. Résultats : Cinq groupes se sont dégagés. Le groupe 1 avait la proportion la plus élevée de femmes et de méthodes non violentes, et tous avaient des antécédents de dépression et de tentative de suicide. Le groupe 2 avait la proportion la plus élevée de personnes ayant eu un stresseur récent et des méthodes de suicide violentes, et toutes étaient mariées. Le groupe 3 se composait surtout d’hommes de 20 à 64 ans, et tous avaient soit subi des stresseurs récents, soit souffert de maladie mentale, soit eu des antécédents d’abus de substances. Le groupe 4 contenait les personnes les plus jeunes et la proportion la plus élevée de décès attribuables à une chute d’une hauteur, peu étaient mariés, et près de la moitié souffrait d’un trouble bipolaire ou de schizophrénie. Le groupe 5 ne contenait que des personnes célibataires sans antécédents de tentative de suicide, et elles étaient les moins susceptibles d’avoir une maladie mentale identifiée et les plus enclines à laisser une note de suicide. Conclusions : Les personnes qui meurent par suicide se répartissent en différents modèles de caractéristiques démographiques, cliniques et de mort particulières. L’identification et l’étude des sous-groupes de suicides peuvent nous faire mieux comprendre la nature hétérogène du suicide, et contribuer à éclairer l’élaboration de stratégies de prévention du suicide mieux ciblées.

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