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Citation

Al-Zacko SM. Ann. Burns Fire Disasters 2012; 25(3): 121-125.

Affiliation

Consultant Plastic Surgeon, Assistant Professor, Head- Department of Surgery, College of Medicine, University of Mosul, Iraq.

Copyright

(Copyright © 2012, Mediterranean Council for Burns and Fire Disasters)

DOI

unavailable

PMID

23467337

Abstract

A cross-sectional study was conducted to investigate the different characteristics of attempted suicide by self-inflicted burn cases compared with other accidental burn cases admitted to the Burns Unit in Al-Jumhoori Teaching Hospital in Mosul over a one-year period from March 1, 2011 to March 1, 2012. Of 459 burn cases, 103 (22.44%) had self-inflicted burns. The mean total body surface area of suicide attempters was 61%, markedly higher than in other cases (20%) (P= 0.0001). Among all self-inflicted burn cases, burns were caused by flame, while scald was the commonest cause (56.5%) in accidental burns. There was a significant difference in the sex ratio between self-inflicted burn cases (1:11.9) and accidental burn cases (1:1) (P = 0.0001). Case fatality rates for self-inflicted burn and accidental burn cases were 80.6% and 14.9%, respectively. The overall mean ages for self-inflicted burn and accidental burn cases were 24.3 and 15.6 years, respectively. Compared to all other burn cases, self-inflicted burn cases had a significantly larger mean percentage of surface body area burned (61.0±28.2 versus 20.7±15.8; P = 0.0001). In conclusion, self-inflicted burns remain a common cause of admission to our burn unit. The extent of burns is often large, since most suicide attempters use an accelerant that accounts for the high mortality in this group.


Language: en

Vernacular Abstract

Les Auteurs ont effectué une étude comparative des modalités différentes entre les cas de tentatives de suicide manqué et les cas de brûlure pour d’autres causes traités à l’Unité de Brûlures auprès du Centre Universitaire Al-Jumhoori à Mosul, Irak, pendant la période d’un an (mars 2011/mars 2012). Sur 459 cas de brûlure, 103 patients (22,44%) présentaient des lésions autoinfligées. La surface cutanée moyenne brûlée dans le cas de suicide manqué était de 61%, un niveau plus élevé que les autres cas (20%) (P= 0.0001). Parmi tous les cas de brûlures autoinfligées, les lésions ont été causées par les flammes, tandis que l’ébouillantement a été la cause la plus commune des brûlures accidentelles (56.5%). La différence pour ce qui regarde le sexe dans les brûlures autoinfligées et accidentelles était significative (1:11.9) (1:1) (P = 0,0001). Les taux de mortalité pour les brûlures autoinfligées et accidentelles étaient 80,6% et 14,9%, respectivement. L’âge moyen de tous les cas était 24,3 ans (autoinfligés) et 15,6 ans (accidentelles), respectivement. Par rapport aux autres cas de brûlures les cas de brûlures autoinfligés avaient un pourcentage de surface corporelle brûlée significativement plus élevée (61,0±28,2 versus 20,7±15.8; P = 0,0001). Pour conclure, les brûlures autoinfligées restent une cause commune de l’hospitalisation dans autres unités de brûlures. L’extension de la brûlure est souvent très étendue puisque les personnes qui tentent le suicide utilisent fréquemment des substances qui favorisent les flammes, ce qui explique le taux élevé de mortalité dans ce type de brûlure.

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