Citation

Leliévre N. Douleurs 2011; 12(4): 196-199.

Vernacular Title

La violence en milieu hospitalier : analyse des données 2010 de l'Observatoire national des violences

Copyright

(Copyright © 2011, Elsevier Publishing)

DOI

10.1016/j.douler.2011.06.006

PMID

unavailable

Abstract

The circular of 11 July 2005 on the census of violence in health care facilities enables the National Observatory of violence in hospitals (ONVH) develop an annual report. The number of events reported is increasing every year. Although the number of acts of violence to property or person is constantly growing but we must also consider the fact that institutions are increasingly likely to make the statements. However, a place where professionals are responsible for caring for patients are somewhat battered. Reading the data shows that caregivers are the main victims and perpetrators are often the patients and / or carers. The expression of the manifestations of violence should not be a fatality and a joint action of the different stakeholders must be implemented to reduce violence in health facilities. That's why it was, among others, concluded and signed the Memorandum health, safety and justice in June 2010.

Language: fr

Vernacular Abstract

La circulaire du 11 juillet 2005 relative au recensement des actes de violence dans les établissements de santé permet à l'Observatoire national des violences en milieu hospitalier (ONVH) d'élaborer un rapport annuel. Le nombre de faits déclarés augmente chaque année. Certes, le nombre d'actes de violences aux biens ou à la personne est en constante augmentation mais il faut également tenir compte du fait que les établissements sont de plus en plus nombreux à procéder aux déclarations. Cependant, un lieu où les professionnels ont pour mission de prendre soin des patients sont pour le moins malmenés. La lecture des données montre que les soignants sont les principales victimes et les auteurs des violences sont souvent les patients et/ou accompagnants. L'expression des manifestations de violence ne doit pas être une fatalité et une action commune des différents acteurs concernés doit être mise en place pour faire diminuer la violence dans les établissements de santé. C'est la raison pour laquelle il a été, entre autres, conclu et signé le protocole santé-sécurité-justice en juin 2010.