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Journal Article

Citation

Parent G, Robitaille MP, Guay JP. Sexologies 2018; 27(2): 113-121.

Vernacular Title

La coercition sexuelle perpétrée par la femme : mise à l'épreuve d'un modèle étiologique

Copyright

(Copyright © 2018, Elsevier Publishing)

DOI

10.1016/j.sexol.2018.02.007

PMID

unavailable

Abstract

Although an increasing body of literature focuses on sexual coercion committed by women in the general population, very few explanatory models have been put forward to explain the use of coercive strategies by women.
Objective

The main objective of this study is to test, using a wider and more culturally diverse sample, the first explanatory model suggested by Schatzel-Murphy (2011) and tested on American women.
Method

To this end, 274 Canadian, heterosexual and French-speaking university students completed the French version of the Multidimensional Inventory of Development, Sex and Aggression (MIDSA).

Results

The results show that a greater proportion of Quebeckers (41%) than Americans (26%) use sexual coercion to force their partner to have sexual relations. In general, the Schatzel-Murphy etiological model successfully explains Quebeckers' use of sexual coercion, albeit not quite as well as for Americans, as can be seen by an explained variance which is three times smaller (12% as opposed to 34%). The lack of link between sexual abuse and sexual coercion, together with the different roles played by sociosexuality and hyperfemininity in the use of sexual coercion by Quebeckers, is discussed in light of the cultural differences between women from the two countries.

Discussion

Some thought is also given to the two major paths leading to sexual coercion and suggestions are made for related clinical implications.


Mots clés
Coercition sexuelle
Femmes
Victimisation sexuelle
Sociosexualité
Hyperféminité
Modélisation par équation structurelle
Keywords
Sexual coercion
Women
Sexual abuse
Sociosexuality
Hyperfemininity
Structural equation modeling


Language: en

Vernacular Abstract

Bien que de plus en plus de travaux s'intéressent à la coercition sexuelle commise par les femmes de la population générale, très peu de modèles explicatifs ont été proposés afin d'expliquer l'utilisation de stratégies coercitives par des femmes.
Objectif

L'objectif principal de cette étude était de mettre à l'épreuve, avec un échantillon plus grand et culturellement différent, le premier modèle explicatif proposé par Schatzel-Murphy (2011) et testé auprès d'Américaines.
Méthode

Pour ce faire, 274 étudiantes universitaires, canadiennes, hétérosexuelles et de langue française ont complété la version francophone du Multidimensional Inventory of Development, Sex and Aggression (MIDSA).

Résultats


Les résultats ont montré qu'une plus grande proportion de Québécoises (41 %) que d'Américaines (26 %) utilise la coercition sexuelle pour contraindre leur partenaire à avoir un rapport sexuel lors d'une absence de consentement. De façon générale, le modèle étiologique de Schatzel-Murphy permet d'expliquer le recours à la coercition sexuelle chez les Québécoises quoique plus imparfaitement que pour les Américaines comme en témoigne une variance expliquée trois fois moins importante (12 % contre 34 %). L'absence de lien entre la victimisation sexuelle et la coercition sexuelle ainsi que le rôle différent que semble exercer la sociosexualité et l'hyperféminité dans l'utilisation de la coercition sexuelle chez les Québécoises sont discutées à la lumière des différences culturelles entre les femmes des deux pays.
Discussion

Une réflexion, quant aux deux grandes trajectoires, menant à la coercition sexuelle est également mise de l'avant et des implications cliniques relativement à celles-ci sont suggérées.

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